« Grâce à la thérapie primale, j’ai cessé de laisser mes proches décider de tout et de me sentir invisible en soirée ou en société. J’ai assumé mes choix individuels, même en couple, et j’ai petit à petit élargi mes centres d’intérêt. Je me sens moins dépendant de ma compagne… Je mène ma vie en somme. Philippe, 47 ans.
« Dès le début de ma thérapie primale, ma relation à mon fils alors âgés de 3 ans s’est pacifiée. J’ai su poser mes limites sans crier et j’ai mieux écouter ses besoins. De ce fait, moins anxieuse, moins culpabilisée, ma clarté d’esprit m’ a permis de trouver une école alternative qui lui convient bien. » Sophie, 33 ans.
« Je suis parvenu à changer d’orientation professionnelle alors que je me sentais malheureux dans mon précédent emploi. Avant la thérapie, je subissais, je ravalais ma colère, j’étais mal… Et pus, j’ai réussi à faire le pas et j’ai trouvé un emploi qui me correspond beaucoup mieux. » Yvan, 27 ans.
« Je suis venu en thérapie primale car j’avais de fortes crises de colère qui faisaient peur à ma compagne. J’avais aussi des addictions. Depuis, ces crises se sont apaisées, l’addiction aussi et je peux poser des mots sur ce qui me fait mal. Je parviens à discuter, à écouter, à communiquer. Même si ma souffrance d’enfant est encore vive, ma rage envers ma famille s’est apaisée. Et j’ai comme plus de place en moi pour m’investir dans mes projets ». Colin, 36 ans.
« Quand je suis arrivée en thérapie, je ne cessais de pleurer sans savoir pourquoi. Tout m’était difficile. J’enchaînais les épisodes de vie violents, ma situation familiale était compliquée. Avec la thérapie primale, j’ai retrouvé la force de reconnaître mes choix et d’en faire de nouveaux. Je retrouve progressivement une liberté de penser et d’action. Et la joie de vivre. » Karine, 27 ans.